Consultant international pour l’étude d’évaluabilité des programmes de coopération 2024-2027 de la Mauritanie et 2023-2027 de Sao Tomé-et-Principe (A distance)

  • Added Date: Thursday, 26 June 2025
  • Deadline Date: Saturday, 05 July 2025
5 Steps to get a job in the United Nations

UNICEF travaille dans certaines parties du monde qui sont les plus difficiles, pour atteindre les enfants les plus désavantagés au monde. Pour sauver leurs vies. Pour défendre leurs droits. Pour les aider à réaliser leur potentiel. Dans 190 pays et territoires, nous travaillons pour chaque enfant, partout, chaque jour, pour construire un monde meilleur pour tous.

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L'UNICEF intervient en Mauritanie pour soutenir les enfants les plus vulnérables, en veillant à ce qu'ils aient accès à des soins de santé, à une alimentation adéquate, à l'eau potable et à une éducation de qualité, tout en les protégeant contre la violence et l'exploitation, quels que soient leur lieu d'origine ou de résidence.

1.Objet de l’étude d’évaluabilité (EE)

La présente étude d’évaluabilité porte sur les programmes de coopération entre les Gouvernements de la Mauritanie et de Sao Tomé-et-Principe (STP), et l’UNICEF, pour la période 2023-2027. Ces programmes ont été approuvés par le Conseil d’administration de l’UNICEF respectivement en 2022 et 2023. Les deux programmes sont alignés sur les priorités nationales de développement des deux pays ainsi que sur les Cadres de coopération des Nations Unies pour le développement durable (UNSDCF), aux priorités régionales (KRCs) et au plan stratégique UNICEF 2022-2025. Ils ont été conçus pour accélérer les résultats pour les enfants dans un contexte marqué par des vulnérabilités structurelles, des défis en matière de gouvernance, et des chocs exogènes récurrents (changements climatiques, crises régionales, insécurité alimentaire, etc.).

Le programme de coopération de la Mauritanie s’articule autour de quatre axes majeurs : la résilience face aux chocs économiques et environnementaux, l’accès équitable à des services sociaux essentiels de qualité, inclusifs et durables, l’autonomisation des femmes et des jeunes filles, ainsi que le renforcement de la gouvernance. La vision sur laquelle repose le programme consiste à faire de la Mauritanie un pays où chaque enfant - garçons et filles, y compris les adolescentes -, particulièrement les plus vulnérables des milieux périurbain et rural, ait un accès équitable et bénéficie de services sociaux essentiels de qualité qui garantissent la réalisation de ses droits et de son plein potentiel dans un environnement sécurisé.

Le programme de coopération de Sao Tome et Principe vise à améliorer la qualité et l’accessibilité des services sociaux, notamment la santé et la nutrition maternelles et infantiles, l’accès à l’eau et à l’assainissement, l’éducation inclusive pour les enfants non scolarisés ou en situation de handicap, la protection sociale et les mécanismes intégrés contre les violences faites aux enfants. Il entend également multiplier les opportunités d’apprentissage et d’autonomisation des adolescents et des jeunes, en particulier des filles, à travers l’éducation non formelle et le développement de compétences pratiques.

L'évaluabilité est essentielle pour renforcer la gestion axée sur les résultats et droits humains et démontrer la contribution des programmes soutenus par l'UNICEF à la réalisation et à la promotion des droits de l'enfant.

L’étude d’évaluabilité (EE) garantira au bureau de pays et aux principales parties prenantes la solidité de la conception du programme, la définition adéquate des objectifs, la clarification des liens de causalité, la validité et la mesurabilité des indicateurs respectifs, et la mise en place de systèmes de mesure et de vérification des résultats. Cette évaluation s'adresse principalement aux décideurs de l'UNICEF. Un tel exercice est censé garantir aux parties prenantes que le programme est solide, que les objectifs sont définis de manière adéquate, que les liens causes à effets sont clarifiés, que les indicateurs sont validés et mesurables, et que les systèmes ont la capacité de mesurer et vérifier les résultats.

EE fournira des preuves solides pour informer la planification pour la période 2025 et 2027, améliorer la logique d’intervention et renforcer les systèmes de suivi, d’évaluation et d’apprentissage dans les deux pays.

2.Contexte et justification

La Mauritanie et Sao Tomé-et-Principe, bien que différents en termes de géographie et de contexte économique, partagent plusieurs vulnérabilités structurelles affectant les droits des enfants : pauvreté multidimensionnelle, inégalités d’accès aux services sociaux essentiels, défis liés à la gouvernance, aux données, à la résilience des systèmes et à l’inclusion des plus vulnérables.

La Mauritanie a progressé dans l’accès aux soins et la nutrition. En 2024 par exemple, plus de 12 000 enfants ont été traités pour des maladies courantes, et près de 500 000 ont bénéficié d’une supplémentation en vitamine A. Une nouvelle politique nationale de nutrition et un plan multisectoriel budgétisé 2024-2030 ont été adoptés. Toutefois, la couverture vaccinale de routine a baissé, en partie à cause du contexte électoral. En WASH, 26 179 personnes ont bénéficié d’un accès à l’eau de sources améliorées, notamment via des systèmes alimentés à l’énergie solaire.

Le PNDSE 3 vise une éducation inclusive, avec un accent sur le préscolaire, la résilience et l’inclusion des enfants handicapés. Le taux de scolarisation préscolaire est passé de 9,2 % à 15,2 %. Grâce à l’intégration d’enfants non scolarisés, 3 943 dont 1,709 filles, et à la mise en place d’un tutorat ciblant 6 064 enfants, les efforts de réintégration ont été renforcés. Des plateformes numériques comme dirasaty.net sont utilisées pour renforcer la formation initiale des enseignant(e)s.

La violence basée sur le genre reste un défi majeur. En 2024, 11 750 enfants victimes de violence ont reçu des services de protection, y compris 6 220 filles et 243 enfants avec handicaps. Des groupes communautaires d’alerte ont été activés. Plus de 23 000 personnes ont été mobilisées contre les MGF et mariages précoces. Une réforme de la justice pour mineurs est en cours, avec 97 % d’enfants arrêtés bénéficiant d’alternatives à la détention.

Deux stratégies ont été adoptées : la Stratégie nationale de protection sociale II (2025-2034) et la Stratégie pour l’inclusion des personnes handicapées. Les transferts monétaires ciblés ont couvert 12 000 familles avec des membres handicapés.

Les inondations dans les régions du Gorgol et du Guidimakha ont déplacé des milliers de familles en 2024, aggravant l’insécurité alimentaire. Mauritanie a renforcé ses mécanismes de réponse aux chocs, mais reste vulnérable.

Le manque de données statistiques récentes et d’évidences risquent d’entraver une programmation et un suivi efficaces des droits des enfants. Pour remédier à cette situation, l’UNICEF a soutenu le système statistique national et d'importants efforts de collecte de données du tels que l’enquêtes en grappes à indicateurs multiples (MICS), l’Enquêtes Démographiques et de Santé (EDS) et l’Enquêtes Permanentes sur les Conditions de Vie (EPCV). UNICEF prévoit à appuyer le gouvernement mauritanien de mener une nouvelle enquête MICS 2025-2026. En collaboration avec le Ministère de l’Action Sociale, de l’Enfance et de Famille (MASEF) l’UNICEF conduira une analyse de la situation (SITAN), qui fournira des outils de suivi des droits des enfants et améliorer la prise de décision basée sur des données fiables.

Petit État insulaire en développement, Sao Tomé-et-Principe (STP) compte environ 231 000 habitants. En décembre 2024, il a officiellement quitté la catégorie des pays les moins avancés (PMA). Ce qui pourrait entraîner une réduction progressive de l’aide concessionnelle et des préférences commerciales, exigeant ainsi une diversification accrue des sources de financement externe. Ce changement de catégorie de pays met également à l’épreuve la capacité du pays à mobiliser ses ressources internes afin de renforcer ses systèmes sociaux pour répondre de manière autonome aux besoins des enfants, notamment en matière de santé, d’éducation et de protection. Son indice de développement humain a progressé à 0,613 (contre 0,608 en 2019), et le revenu national brut par habitant atteint 2 580 USD.

Toutefois, STP reste confronté à une forte dépendance aux importations et à l’aide extérieure, une vulnérabilité aux chocs climatiques et géopolitiques, et une émigration croissante (18 % de la population en 2020), ce qui creuse les déficits de main-d’oeuvre dans les secteurs clés, notamment la santé et l’éducation. La pauvreté et les inégalités de genre persistent, avec un chômage élevé chez les jeunes et les femmes, qui représentent ensemble une part importante de la population active.

Sur le plan sanitaire, STP a maintenu des taux élevés de vaccination (95 % pour le HPV, 90 % pour la rougeole et la rubéole), avec zéro transmission VIH mère-enfant. L’accès aux soins s’est amélioré : 107 705 enfants ont accédé aux soins primaires, 18 227 enfants de moins de cinq ans ont survécu grâce à des services renforcés. En nutrition, 85 % des enfants de 6-59 mois ont reçu de la vitamine A. Toutefois, seuls 36 % des ménages ont accès à une eau de sources améliorées, et 43 % pratiquent encore la défécation à l’air libre.

L’éducation est un pilier des progrès : 95 % des enfants de 4-5 ans sont inscrits au préscolaire, 97 % complètent le primaire. En partenariat avec la Banque mondiale, le Partenariat Mondial pour l’Education et Akelius, l’éducation numérique a été déployée dans 15 écoles pilotes, atteignant 2 339 enfants dont 1,147. Une cartographie des écoles connectées a été achevée avec l’initiative mondiale Giga.

En 2024, 340 enfants victimes ou à risque de violence ont été pris en charge, dont 208 victimes de violences sexuelles. Des procédures multisectorielles de gestion de cas ont été mises en oeuvre. STP a également créé une salle spécialisée pour recueillir les témoignages d’enfants en justice, et a adopté une loi pour éviter la revictimisation. Des actions de sensibilisation communautaire ont impliqué 257 filles sur le mariage précoce et les droits des adolescentes.

UNICEF soutient l’expansion du programme de transfert monétaire ‘‘Parental Education Programme’’ (PEP), qui couvre désormais 4 070 familles.

STP s’est engagé dans des actions climatiques ambitieuses : comités jeunesse pour le climat, participation à la COP29, mise en oeuvre du CLAC (Climate Landscape Analysis for Children), et création d’un mécanisme national de coordination multisectorielle WASH.

Dans les deux pays, l’UNICEF joue un rôle central dans la mise en oeuvre des programmes de coopération visant à réduire les inégalités, renforcer la résilience des systèmes sociaux et assurer l’inclusion des enfants et jeunes les plus vulnérables. Toutefois, la diversité des contextes, la complexité des défis et la nécessité d’une action fondée sur des preuves justifient pleinement la réalisation d’une étude d’évaluabilité.

Par ailleurs, conformément à la politique d’évaluation de l’UNICEF, il est recommandé de réaliser une analyse d’évaluabilité au début, à mi-parcours ou en prélude de l’évaluation du programme. C’est dans ce cadre que cette analyse d’ évaluabilité est initiée et vise à évaluer la clarté, la cohérence, la mesurabilité, ainsi que la capacité de suivi et de responsabilisation des programmes des deux pays concernés, tout en préparant le terrain pour une évaluation finale en fin de cycle.

3.Objectifs de l’étude

L’objectif général de cette EE est d’examiner dans quelle mesure les programmes de coopération pays de l’UNICEF en Mauritanie (2024-2027) et à Sao Tomé-et-Principe (2023-2027) sont conçus pour permettre une évaluation rigoureuse, utile et crédible de leurs performances et résultats.

L’analyse vise à :

1.Apprécier la qualité de la conception des programmes, y compris la théorie du changement, la hiérarchie des résultats, les indicateurs de suivi, les cibles, ainsi que l’alignement avec les priorités nationales et le Plan stratégique de l’UNICEF 2022-2025 ;

2.Examiner la disponibilité et la fiabilité des systèmes de données, y compris les capacités de suivi et d’évaluation, les mécanismes de collecte et d’analyse et remontée de l’information, et la mesure des résultats au niveau des produits et des effets ;

3.Identifier les obstacles et les facteurs favorables à l’évaluabilité, en mettant en lumière les défis spécifiques aux contextes nationaux, y compris la disponibilité des données désagrégées, les capacités institutionnelles, et les synergies intersectorielles ;

4.Formuler des recommandations pratiques pour améliorer la conception, les systèmes de collecte, analyse et remontée des données afin de suivre et, in fine, évaluer les résultats escomptés du programme de pays. Cela comprendrait des suggestions sur la préparation des systèmes et des outils nécessaires à la conduite de l'évaluation du programme de pays, ainsi que les autres évaluations prévues dans le plan d'évaluation chiffré d’évaluation.

D.Préparation pour une évaluation future :

Dans quelle mesure les approches requises pour assurer le suivi des évaluations prévues dans le plan d’évaluation budgétisé sont-elles effectivement mises en place ?

• Dans quelle mesure l’évaluation finale des programmes est-elle perçue comme nécessaire par l’UNICEF et ses partenaires, au regard de leur culture de redevabilité et d’apprentissage ?

• Les plans d’évaluation budgétisés des programmes de pays sont-ils réalistes, réalisables et pertinents pour générer des évidences utiles à l’évaluabilité des programmes ?

• Dans quelle mesure au niveau de chaque pays, un système efficace de suivi, d’évaluation et de gestion des connaissances est-il en place pour soutenir la réalisation des évaluations prévues ?

• Quelles améliorations programmatiques, techniques, humaines et financières sont nécessaires pour assurer la faisabilité des évaluations et la mesure des résultats à moyen et long terme ?

Ces questions sont provisoires. Elles devraient être affinées au cours de la phase de démarrage.

5.Portée de l’étude

EE portera sur l’ensemble des Programmes de Coopération Pays (CPD) entre l’UNICEF et les gouvernements de la Mauritanie (2024-2027) et de Sao Tomé-et-Principe (2023–2027). Elle se concentrera sur les cadres de résultats liés à ces résultats et systèmes de suivi par pays. Elle couvrira donc l’ensemble des composantes programmatiques, en intégrant à la fois les interventions en développement et les actions en réponse humanitaire, y compris les questions de résilience, d’équité et de changement climatique.

Conformément à la \" Note d'orientation pour la conduite des évaluations de l'évaluabilité de l'UNICEF (Février 2019), quatre critères principaux guideront cette étude : 1) la logique du programme ; 2) le système de Suivi-Evaluation ; 3) les ressources ; et, 4) la préparation à l’évaluation/existence de la demande d’évaluation.

6.Approche méthodologique

EE adoptera une approche axée sur la théorie, notamment en se basant sur la Théorie de Changement du programme. Elle adoptera également une approche participative et inclusive, visant à renforcer les capacités nationales, promouvoir l’apprentissage mutuel et orienter la mise en oeuvre stratégique des CPD. L’exercice s’appuiera sur la \" Note d'orientation pour la conduite des évaluations de l'évaluabilité de l'UNICEF (Février 2019) de UNICEF , tout en tenant compte des spécificités contextuelles de chaque pays.

Les principales méthodes de collecte de données incluront :

➢Revue documentaire approfondie

L’étude examinera les documents de programmation clés, notamment : les CPD et leurs annexes (théorie du changement, cadres de résultats, matrices d’indicateurs), les UNSDCF, les plans nationaux sectoriels (éducation, santé, protection, nutrition, etc.), ainsi que les données disponibles sur les résultats, les rapports annuels (COAR), les revues internes et évaluations antérieures.

➢Entretiens et consultations

Des entretiens semi-structurés seront menés avec des informateurs clés, incluant :

-Le personnel de l’UNICEF dans les deux pays ;

-Les représentants des ministères sectoriels partenaires (santé, éducation, affaires sociales, etc.) ;

-Les agences soeurs des Nations Unies, les partenaires techniques et financiers, et la société civile ;

-Les bénéficiaires attendus.

➢Évaluation de la capacité des systèmes de suivi et d’évaluation

L’exercice inclura un diagnostic des systèmes nationaux et institutionnels de suivi et d’évaluation (outils, ressources humaines, données disponibles, coordination intersectorielle, etc.), pour apprécier leur niveau de maturité et leur capacité à appuyer la redevabilité et la mesure des résultats des programmes pays.

➢Ateliers de validation participatifs

Dans chaque pays, un atelier national permettra :

-de partager les constats préliminaires de l’étude,

-de recueillir les perceptions des parties prenantes,

-et de valider collectivement les recommandations.

L’ateliers pourront avoir lieu pendant le processus de la Revue à mi-parcours de l'UNICEF dans chaque pays. En fonction du format prévu et des participants aux ateliers, le consultant pourra devoir se rendre au pays.

 7.Principes éthiques

EE sera menée dans le respect strict des normes éthiques internationales, notamment celles définies par le Groupe des Nations Unies pour l’Évaluation (UNEG), et conformément aux principes éthiques de l’UNICEF en matière d’évaluation.

Les considérations suivantes seront prises en compte à toutes les étapes du processus :

• Anonymat et confidentialité : EE doit respecter les droits des personnes qui fournissent des informations, en garantissant leur anonymat et la confidentialité.

• Responsabilité : Les rapports doivent faire état de tous les conflits ou divergences d'opinion ayant pu se manifester entre le/la consultant(e) et les responsables des programmes concernant les conclusions et/ou recommandations de l'étude. L'ensemble des équipes doit confirmer les résultats présentés, les éventuels désaccords devant être indiqués.

• Intégrité : le/la consultant(e) devra de mettre en évidence les questions qui ne sont pas expressément mentionnées dans les TdRs, afin d'obtenir une analyse plus complète du programme.

• Indépendance : le/la consultant(e) doit veiller à rester indépendant vis‐à‐vis des programmes examinés, et il ne devra pas être associé à sa gestion, mise en oeuvre ou un autre élément de celle‐ci.

• Incidents : Si des problèmes surviennent au cours du travail de terrain, ou à tout autre moment du processus, ils doivent être immédiatement signalés au Gestionnaire de l’étude. Si cela n'est pas fait, l'existence de tels problèmes ne pourra en aucun cas être utilisée pour justifier l'impossibilité d'obtenir les résultats prévus par l’UNICEF dans les présents termes de référence.

• Validation de l'information : Le/la consultant(e) doit garantir l'exactitude des informations recueillies lors de la préparation des rapports et sera responsable des informations présentées dans les rapports finaux.

• Propriété intellectuelle : En utilisant les différentes sources d'information, le/la consultant(e) doit respecter les droits de propriété intellectuelle des institutions et des communautés examinées.

• Soumission des rapports : Si la soumission des rapports est repoussée, ou dans le cas où la qualité des rapports soumis serait nettement plus basse de ce qui a été convenu, les sanctions prévues s'appliqueront.

To qualify as an advocate for every child you will have… 

PHD

Diplôme universitaire de niveau Master ou plus dans l’un des domaines suivants : évaluation, sciences sociales, développement international, politiques publiques, économie, ou tout autre domaine pertinent.

Knowledge/Expertise/Skills required:

• Au moins 10 ans d’expérience professionnelle dans l’évaluation de programmes ;

• Expérience avérée dans la conduite d’analyses d’évaluabilité pour l’UNICEF ou d’autres agences des Nations Unies serait un atout ;

• Bonne compréhension des systèmes de suivi et d’évaluation nationaux, des approches fondées sur les droits de l’enfant, et des enjeux d’équité, de genre et d’inclusion serait un avantage ;

• Expérience dans les deux pays (Mauritanie et STP) ou dans des contextes similaires serait un atout ;

• Maîtrise des approches méthodologiques d’évaluabilité et des standards de qualité en évaluation (UNEG, OCDE/CAD) serait très pertinente pour cette consultation ;

• Capacité démontrée à travailler de manière participative avec des acteurs étatiques, la société civile et des partenaires techniques serai très appréciée ;

• Excellentes compétences analytiques, rédactionnelles et de synthèse serait aussi un avantage ;

• Bonne maîtrise des outils numériques de collecte et d’analyse de données ;

• Maîtrise du français et de l’anglais (écrit et oral) obligatoire ; la connaissance du portugais constitue un atout important.

• Rigueur, sens de l’organisation et respect des délais serait très pertinente.

• Engagement éthique et sensibilité culturelle, notamment dans les environnements multi-acteurs et multilingues serait également un avantage.

Avoir le niveau 1 des compétences suivantes :

· Établir et entretenir des partenariats

· Cultiver la conscience de soi et démontrer un sens de l’éthique

· S’atteler à obtenir des résultats tangibles

· Innover et épouser le changement

· Travailler de façon collaborative

Nos valeurs fondamentales qui sont le Soin; le Respect ; l’Intégrité ; la Confiance ; la Redevabilité et la Durabilité.

To view our competency framework, please visit here. 

Remarques:

L'UNICEF s'engage à promouvoir la diversité et l'inclusion au sein de son personnel et encourage tous les candidats, sans distinction de sexe, de nationalité, de religion ou d'origine ethnique, y compris les personnes vivant avec un handicap, à postuler pour rejoindre l'organisation.

Nous offrons un large éventail d'avantages à notre personnel, notamment un congé parental payé, des pauses pour l'allaitement et des aménagements raisonnables pour les personnes handicapées. L'UNICEF encourage vivement le recours à des modalités de travail flexibles.

“L’UNICEF applique la politique de tolérance zéro à l’égard toute conduite jugée incompatible avec son mandat et avec les normes de conduite des fonctionnaires des Nations Unies, notamment l’abus ou l’exploitation sexuels, le harcèlement sexuel, l’abus d’autorité et la discrimination. L’UNICEF adhère aussi strictement au principe de la protection de l’enfance. Tout candidat considéré pour un recrutement fera l’objet d’une vérification rigoureuse des références et des antécédents et devra adhérer à ces normes et principes.” 

Seuls les candidats retenus pour passer un test écrit seront contactés.

L'UNICEF propose des aménagements adaptés (reasonable accommodation) aux consultants/prestataires individuels handicapés. Il peut s'agir, par exemple, de logiciels accessibles, d'une assistance au voyage pour les missions ou d'accompagnateurs personnels. Nous vous encourageons à déclarer votre handicap lors de votre candidature au cas où vous auriez besoin d'aménagements adaptés pendant le processus de sélection et ultérieurement lors de votre mission. 

  Les candidatures féminines sont fortement encouragées

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